C’est la Loi d’orientation des mobilités, votée fin 2019, qui interdit désormais cette pratique de plus en plus répandue dans l’hexagone.
Dans les faits :
- celui ou celle qui débride un VAE encourt 1 an de prison, 30 000€ d’amende et une immobilisation du vélo jusqu’à ce que ce dernier soit remis en conformité
- le fabricant du kit de débridage encourt 2 ans d’emprisonnement
+ d’infos :
- Legifrance code de la route Loi du 24 décembre 2019 : www.legifrance.gouv.fr
- Les dangers du débridage sur un vélo électrique : cliquez ici
Qui sommes nous?
Le Marché du vélo.com, fondé en 2009 et spécialiste français du vélo assistance électrique sur internet et en magasins. Nous défendons un mode de consommation durable en luttant contre l’obsolescence programmée des produits, en recyclant à + de 95% nos déchets et en proposant des produits réparables pour une utilisation à long terme. Nous sommes donc à l’opposé de Amazon, Alibaba et autres géants du web…
Plutôt que de comprendre pourquoi les gens débrident, on met en prison. Il faut faire de la prévention c’est bien plus efficace.
Et je me permet aussi de poser la question : la legislation est-elle bien adaptée ? mais je risque de susciter l’incompréhension du législateur qui ne doit pas faire beaucoup de vélo tous les jours. Je propose qu’aussi brider les voitures par égalité avec les vélos à 130km/h en France en se basant sur les GPS embarqué (géo localisation pour voir si on est bien en France et vitesse limite maximale de notre pays). C’est une boutade bien sur mais c’est pour montrer l’absurdité de la mesure. Il faudrait mieux mettre des panneaux sur la route comme avec les voitures car quand on est sur une départementale sans piste cyclable protégée et frôlé constamment par voitures et camions on a envie d’aller plus vite que ces petits 25km/h ridicule en ligne droite sur le plat ou en descente pour se mettre à l’abri des chauffards. A bon entendeur et soyez courtois sur la route!
idem rien à ajouter